Les coiffures au XVIIIe siècle

... de son standing, des circonstances, les chauves n'avaient pas le choix quant à eux !

Voici une coiffure propice aux vendanges :

Comte d'Hézècques a écrit:Voici une coiffure propice aux vendanges :

... la bacchante façon XVIIIeme ! :

Pour un petit creux :

Ce devait être terrible en promenade ! J'imagine la horde d'oiseaux se jetant sur la tête de la dame. :

Une coëffure au goût du siècle :

Reinette a écrit:Ce devait être terrible en promenade ! J'imagine la horde d'oiseaux se jetant sur la tête de la dame. :

Ce sont quand même surtout des coiffures exceptionnelles, qu'on porte pour un soir, un événement particulier.
C'est comme si dans deux siècles on prenait les grands magazines de mode, ou les photos de mariages, on qu'on pensait qu'on sortait ainsi chaque jour !

C'est vrai, Lucius, mais une fois que le travail capillaire a été fait, ce n'est pas pour une soirée seulement...
La dame dort avec tout son artifice qui est protégé par un bonnet, de façon à ce que le coiffeur n'ait qu'à venir réajuster les boucles, la poudre et les parements du jour chaque matin.
Ce n'est en rien un casque à retirer quand bon vous semble comme dans les Adieux à la Reine ... : 

Bien à vous.

Lucius a écrit:

Reinette a écrit:Ce devait être terrible en promenade ! J'imagine la horde d'oiseaux se jetant sur la tête de la dame. :

Ce sont quand même surtout des coiffures exceptionnelles, qu'on porte pour un soir, un événement particulier.
C'est comme si dans deux siècles on prenait les grands magazines de mode, ou les photos de mariages, on qu'on pensait qu'on sortait ainsi chaque jour !

J'y pensais en écrivant mon message mais en même temps la promenade avait un impact mondain considérable où il fallait se faire voir, se faire remarquer.

Ce sont surtout les actrices, les courtisanes, qui avaient un besoin ( quasi-professionnel ) de se faire voir, se faire remarquer.
Marie-Thérèse le dit d'ailleurs tout uniment à sa fille ...

Majesté a écrit:C'est vrai, Lucius, mais une fois que le travail capillaire a été fait, ce n'est pas pour une soirée seulement...
La dame dort avec tout son artifice qui est protégé par un bonnet, de façon à ce que le coiffeur n'ait qu'à venir réajuster les boucles, la poudre et les parements du jour chaque matin.
Ce n'est en rien un casque à retirer quand bon vous semble comme dans les Adieux à la Reine ... : 

En effet, une fois la coiffure arrangée par Léonard en place, elle ne sera que réajustée le matin par soit le coiffeur même si la dame est très riche, soit par la femme de chambre

Au XVIIIème siècle il n'y avait pas la différence qu'on connaît actuellement entre haute couture et prêt-à-porter. Les gravures que l'on voit par exemple dans le Magasin des Modes représentent assez fidèlement ce que les femmes portaient réellement, contrairement aux vêtements burlesques montrés sur le catwalk ou dans certains magazines de nos jours.

Mme de Sabran a écrit:

Ce sont surtout les actrices, les courtisanes, qui avaient un besoin ( quasi-professionnel ) de se faire voir, se faire remarquer.
Marie-Thérèse le dit d'ailleurs tout uniment à sa fille ...

Une petite promenade dans les jardins du Palais-Royal, ça vous tente, Eléonore ?

Comte d'Hézècques a écrit:

Au XVIIIème siècle il n'y avait pas la différence qu'on connaît actuellement entre haute couture et prêt-à-porter. Les gravures que l'on voit par exemple dans le Magasin des Modes représentent assez fidèlement ce que les femmes portaient réellement

Certainement une grande différence entre la vêture d'une cliente du Grand mogol et celle d'une dame qui fait remettre au gout du jour ses toilettes par sa femme de chambre ou par une ouvrière de quartier  :
Quant à savoir ce qui était réellement porté, seul un voyage dans la Machine nous le dira  (ait...) .
Un tour au XVIII, comte ?

CLIOXVIII a écrit:
Certainement une grande différence entre la vêture d'une cliente du Grand mogol et celle d'une dame qui fait remettre au gout du jour ses toilettes par sa femme de chambre ou par une ouvrière de quartier  :
Quant à savoir ce qui était réellement porté, seul un voyage dans la Machine nous le dira  (ait...) .
Un tour au XVIII, comte ?

Ah ça oui ! C'est toujours une question d'argent :roll:

Un tour au XVIIIème ? Inutile de me poser cette question :;\':;\':;
JAG me fera mon dessin emperruqué et puis je vous dis à la Bern : Suivez-moi !
:

N'oubliez pas votre torche :

Comte d'Hézècques a écrit:

Une petite promenade dans les jardins du Palais-Royal, ça vous tente, Eléonore ?

Mais tout à fait, Comte. Je vous suis ! :n,,;::::!!!:

... toujours top délire ! : : :

Allez, faisons-nous peur encore une fois ! :




àè-è\':

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... c'est le pouf au nain Bébé ! boudoi26

Le stratagème amoureux... pauvres amants ! Comment aborder une telle édifice ?

Comte d'Hézècques a écrit:Le stratagème amoureux... pauvres amants ! Comment aborder une telle édifice ?

Justement !

Tout s'écroule, et la dame avec ... les quatre fers en l'air !!!

Hier, 25 octobre, était la Sainte Catherine:
la tradition veut que les jeunes filles célibataires à l'âge de 25 ans, les catherinettes, soient coiffées d'un chapeau (souvent vert et jaune) décoré d'éléments rappelant leur profession... un héritage des poufs aux sentiments :n,,;::::!!!:

Bien à vous.

Mais oui, certainement, Majesté !

Majesté a écrit:Hier, 25 octobre, était la Sainte Catherine:
la tradition veut que les jeunes filles célibataires à l'âge de 25 ans, les catherinettes, soient coiffées d'un chapeau (souvent vert et jaune) décoré d'éléments rappelant leur profession... un héritage des poufs au sentiment :n,,;::::!!!:

Oui Majesté. Je m'en rappelle très bien. C'est mon patron qui avait confectionné mon chapeau en vert et jaune.
Et je m'étais offert une semaine en Auvergne avec un groupe de jeunes. Sacs à dos et ânes les portant. : :

Majesté a écrit:... un héritage des poufs aux sentiments

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Je vous propose le Pouf aux Sentiments ... belliqueux . : : :

Joli travail de coiffure inspiré par le Marie-Antoinette de Hollywood avec Norma Shearer :

...ou par the Duchess :

Bien à vous.